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Difficile de dire si l'avis de Thierry Henry est représentatif de celui de ses partenaires, mais le buteur des Bleus partage apparemment quelques opinions avec le public de France. Son témoignage est exceptionnellement clair sur l'ampleur prise, en un rien de temps, par Franck Ribéry. «Tout le monde a constaté qu'on avait essayé de le chercher dès son entrée pour le mettre le plus à l'aise possible, a observé le Gunner après France - Danemark (2-0). Il peut décanter une situation. Il joue simple, il garde le ballon quand il le faut. Peu de joueurs au monde peuvent, comme lui, rentrer et accélérer brutalement. Même si le défenseur lui prend neuf fois le ballon, la dixième, il essaiera quand même. J'aime ça. Sur l'action qui amène le penalty, on pouvait penser qu'il ne passerait pas. Il l'a fait grâce à son envie, sa ténacité, sa technique. C'est un joueur de rupture, il attaque à chaque fois qu'il a le ballon. Pour les défenseurs, c'est un cauchemar. Ses deux dernières rentrées ont été intéressantes.»

C'est un euphémisme. En 40 minutes de jeu et deux sélections, Franck Ribéry a créé ce qui ressemble à une unanimité. Le Marseillais, en 16 minutes à droite contre le Mexique au Stade de France, puis 24 dans l'axe à Lens, a montré sa polyvalence. Son efficacité aussi, même si le bilan pourrait être meilleur. «On voulait qu'il tire le penalty mais il n'a pas voulu», révèle Henry. Pas mal pour un joueur dont l'essentiel de l'oeuvre en Espoirs fut écrite... à gauche. Sur le strict plan du jeu, il n'y a là rien de bien neuf. Ribéry reproduit en équipe de France ce qu'il a fait à Marseille en début et en fin de saison. Raymond Domenech l'a pris pour ça. «Il m'a dit : "Je veux que tu joues comme avec les Espoirs, vers l'avant, sans te poser de question". De toute façon, je ne suis pas du genre à me mettre de pression inutile. Dans ces circonstances, on a toujours peur de perdre le ballon. Mais le coach m'a fait comprendre qu'il préférait ça plutôt que me voir timide. Ça m'a mis à l'aise.» C'est là le plus surprenant : la vitesse à laquelle l'ex-Messin s'est emparé de ce nouveau rôle, dans le contexte tendu de la non-sélection de Giuly le champion d'Europe. «On dirait qu'il est là depuis vingt ans, jure Henry. Sur le terrain, je l'ai vu jouer sans crainte. Dans les oppositions, on le sent concentré et déterminé.»

Titulaire, ou remplaçant naturel de Zidane ?

La thèse de l'euphorie du moment est défendable. Ribéry vit un rêve éveillé. «Les gens qui scandaient mon nom, je ne pourrai pas l'oublier. Ça m'a fait des frissons» dit celui qui a vécu, à Tignes, l'un des «plus grands moments de (sa) vie» en escaladant le glacier de la Grande-Motte. Mais il reste modeste. Trop, peut-être, confronté à l'idée d'une titularisation. «Je suis déjà content d'être dans les 23», freine-t-il. Dimanche, il parlait encore du «peu de temps (qu'il aurait) pendant la compétition en Allemagne». «Pour l'instant, je suis satisfait de ce qui se passe avec eux. Quand je les vois, je me demande parfois ce que je fais ici.» Henry le voit comme «un petit joker capable de semer la pagaille», mais il prévient aussitôt : « En 1998, je ne devais même pas faire partie de la liste des 22 et je me suis retrouve titulaire au début de la Coupe du monde.» Presque naïvement à l'heure de la vidéo omniprésente, Ribéry espère devenir «peut-être une surprise pour les adversaires, qui auront davantage l'oil sur Henry, Zidane ou Trezeguet.» Il pourra bientôt s'ajouter sur la liste. L'éclosion de Ribéry a déjà eu cette première conséquence : plus personne ne craint que Zidane n'ait pas 90 minutes dans les jambes. Un autre Marseillais, d'adoption, lui, se tient prêt à surgir. Droit au but.

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Allez voir il y a la présentation de toutes les équipes avec les stats et tout le reste.[/url]

Smicer est forfait

C'est avec une émotion palpable que le milieu de terrain tchèque Vladimir Smicer a déclaré forfait pour la Coupe du monde ce jeudi matin. A 33 ans, il n'en disputera sans doute plus et le sait. «Ce matin, on a beaucoup parlé avec les médecins et on est arrivé à cette décision. C'est la plus grande déception de ma vie de footballeur... j'ai déjà éprouvé des moments particulièrement difficiles mais aujourd'hui pour la première fois, j'ai pleuré devant les autres», a avoué l'international, qui compte 27 buts en 81 sélections avec la République tchèque. Victime d'une lésion du demi-tendineux des ischio-jambiers de la cuisse droite depuis un match contre Metz en Championnat de France, le Bordelais n'est pas parvenu à se remettre sur pieds et a préféré laisser sa place : «Je ne pourrais pas partir pour le Mondial sans pouvoir aider les gars. Une dizaine de jours avant notre premier match contre les Etats-Unis, je ne suis toujours pas capable de m'entraîner normalement» a-t-il poursuivi, réaliste. Libor Sionko, qui s'est récemment engagé avec les Glasgow Rangers de Paul Le Guen, est pressenti pour le remplacer

Croatie

L'équipe de Croatie est arrivée jeudi après-midi en Allemagne et devrait rester jusqu'à dimanche à Wolfsburg pour préparer la Coupe du monde. Les Croates auront l'honneur d'affronter le Brésil pour leur premier match le 13 juin à Berlin (groupe F). Entre temps, la Croatie va défier la Pologne samedi en match de préparation, autre qualifiée pour le Mondial (groupe A). Une ultime recontre de préparation est programmée le 7 juin à Genève, contre l'Espagne, également qualifiée

Ballack passe à l'offensive.

Trois jours après le résultat nul de sa formation face au Japon (2-2, après avoir été mené au score 2-0), le capitaine et meneur de jeu de l'équipe allemande Michael Ballack a estimé ce jeudi en conférence de presse que les options de jeu de Jürgen Klinsmann étaient «risquées», mettant également le doigt sur les lacunes défensives de son équipe. «Depuis deux ans que Jürgen Klinsmann a mis en place cette équipe très jeune, nous commettons toujours les mêmes erreurs et nous avons toujours des problèmes en défense...Notre style est très, très offensif et comme nous l'a montré notre match contre le Japon, nous perdons trop de ballons. Contre des équipes bien préparées, la défense devra être au coeur de nos préoccupations» a souligné le néo-londonien, tout en désamorçant un éventuel début de crise en ajoutant que Jürgen Klinsmann et ses coéquipiers étaient déjà au courant de ses opinions.

Bresil

Contrôle antidopage inopiné pour la Seleçao

Emmené par le médecin chef Jiri Dvorak, des représentants de la comission antidopage de la Fifa se sont présentés ce jeudi à l'hôtel de la sélection nationale brésilienne. Des échantillons d'urine du gardien Rogerio Ceni, du défenseur Luisao, et des deux milieux de terrain Gilberto Silva et Juninho ont été pris pour être analysés. Les membres de la Fifa ont également demandé les documents relatifs à la blessure au genou droit du milieu de terrain Edmilson, qui a déclaré forfait mercredi.

Coup dur pour le milieu défensif brésilien, Edmilson. Le vainqueur de la Ligue des champions avec le FC Barcelone a été victime mercredi d'une fracture du ménisque droit. Ce dernier a été contraint de déclarer forfait selon le médecin de la sélection championne du monde en titre, à neuf jours du début de la Coupe du monde. Il sera remplacé par le milieu du FC Sao Paulo, Mineiro, 30 ans. Edmilson s'était déjà gravement blessé au genou droit (rupture des ligaments croisés) au début de la saison 2004-2005. En 2002, la seleçao avait été privée d'un joueur-cadre juste avant la compétition, quand Emerson s'était blessé en jouant gardien de but lors d'un entraînement.

Argentine.

L'équipe d'Argentine est arrivée mercredi après-midi en Allemagne et a pris ses quartiers à Herzogenaurach, son camp de base pour le Mondial, tout proche du site où sont installés les sièges des équipementiers Puma et Adidas. Les Argentins sont arrivés en provenance de Naples. L'Argentine a disputé son dernier match de préparation officielle mardi à Salerne (Italie) contre l'Angola (2-0).

Messi retrouve le terrain.

Lionel Messi, le jeune attaquant barcelonais, a repris la compétition après une longue absence due à une déchirure musculaire à la cuisse droite. Le Barcelonais, qui n'avait plus joué depuis le 7 mars, est entré en jeu à la 64e minute contre l'Angola (2-0), mardi. Il a déjà fait montre d'une condition physique irréprochable.

Italie.

La Squadra Azzura peut s'en réjouir. Francesco Totti, qui a délaissé les terrains depuis février suite à une fracture au péroné gauche, effectuera sa grande rentrée avec l'Italie face à la Suisse, mercredi à Genève, en match de préparation au Mondial. «Totti n'a plus peur d'aller au contact et est prêt. Il n'a plus aucun problème», a expliqué le sélectionneur ajoutant que le «Golden boy» de l'AS Rome serait associé à Alessandro Del Piero.

Totti, blessé le 14 février en Championnat suite à un tacle par derrière de Richard Vanigli d'Empoli, a repris la compétition, le 11 mai à Milan, en entrant à la 54e minute de la finale retour de la Coupe d'Italie. «J'ai beaucoup travaillé ces dernières semaines et je me sens désormais parfaitement bien», a estimé Totti.

Espagne

La sélection espagnole a sollicité la FIFA pour obtenir l'autorisation de remplacer le défenseur latéral de Chelsea Asier del Horno, blessé, par Mariano Pernia (Getafe), dans la liste des 23 joueurs pour le Mondial. Del Horno s'est blessé à la jambe gauche à l'entraînement et la décision de le remplacer a été prise après un examen médical dans la clinique de Valence où la sélection espagnole est rassemblée.

Japon

Makoto Tanaka, le défenseur international japonais, est forfait pour la Coupe du monde en raison d'une blessure à une cuisse. Il était pourtant pressenti pour être titulaire dans l'équipe type. Pour le remplacer, Zico a fait appel au défenseur du FC Tokyo Teruyuki Moniwa

Togo

A une quinzaine de jours du coup d'envoi de la 18e Coupe du monde, les joueurs togolais ont fait part de leur exigence financière, lundi soir à la télévision nationale. Ils réclament chacun une prime de de 155.000 euros (environ 101,6 millions de F.CFA) pour leur participation au Mondial en Allemagne. «Les joueurs demandent chacun, une prime de participation de 155.000 euros (...). Ce montant est élevé compte tenu de la situation financière de notre pays», a déclaré Rock Gnassingbé, le président de la Fédération togolaise de football (FTF) Rock Gnassingbé. Les joueurs demandent également une prime de 30.000 euros par match gagné et la moitié de ce montant par match perdu. Selon M. Gnassingbé, l'enveloppe financière de la demande des joueurs est estimée à environ 4 milliards de F.CFA (environ 6 millions d'euros), «sans compter les primes du staff technique». «Une délégation a été dépêchée à Wangen en Allemagne ou se déroule le stage de la sélection togolaise). Nous allons tenter de gérer au mieux cette situation», a-t-il conclu.

Au terme d’une demi-finale qu’ils auront globalement dominée, les Bleuets ont néanmoins dû s’avouer vaincus après prolongation contre des Néerlandais très efficaces et habiles en contre (2-3 ap.). Une énorme déception tant ils semblaient pouvoir aller au bout

Depuis la génération dorée des Paille, Sauzée et Silvestre en 1988, jamais une équipe de France n’avait semblé si bien armée pour remporter un Euro espoirs qui est devenu depuis quelque temps l’apanage des Italiens. Des Transalpins sortis prématurément de cette compétition en raison de leur défaite (0-1) contre… les Pays-Bas. Soit l’adversaire des hommes de René Girard pour cette demi-finale où ils faisaient ouvertement figure de favoris, en vertu d’un début de compétition superbement maitrisé avec trois matches, trois victoires, six buts marqués, aucun encaissé. Las, malgré une domination quasi constante, les Français ne sont pas parvenus à confirmer lors de cette rencontre les belles dispositions affichées précédemment et quittent donc cet Euro portugais avec un gros sentiment de gâchis, renforcé encore par un arbitrage pas forcément en leur faveur

Un gâchis de 10 minutes

Le début de match était pourtant complètement à l’avantage des Bleuets, qui dominaient copieusement les débats et se créaient pas moins de quatre occasions nettes en dix minutes. Ainsi, Berthod offrait un superbe ballon dans la surface à Gourcuff, mais le milieu rennais manquait d’un brin de spontanéité et un défenseur néerlandais pouvait dégager le ballon en catastrophe (2e). Sur le corner qui suivait, Faty expédiait une tête puissante sous la barre, que Vermeer détournait au prix d’une belle claquette (3e). Toujours dans la continuité de cette domination, Sinama-Pongolle s’échappait sur la gauche mais son centre ne trouvait personne, Briand s’étant retrouvé étrangement à terre (4e). Enfin, un énorme cafouillage dans la surface batave, dû à une sortie aérienne manquée de Vermeer, se concluait par une frappe repoussée… des deux mains par un défenseur néerlandais, sans que monsieur Undiano, l’arbitre espagnol de la rencontre, ne bronche (8e). Une péripétie d’arbitrage qui n’était rien en comparaison de celle que les Bleuets venaient de vivre sur la première occasion des Orange.

Le coup de génie d’Huntelaar

Sur la droite, Hofs profitait en effet de l’apathie tricolore pour repiquer au centre, éliminer un adversaire et placer à l’entrée de la surface une frappe imparable au ras du poteau gauche de Mandanda (0-1, 6e). Un but cruel car allant à l’encontre de la physionomie du match. Un but qui était aussi le premier encaissé par les Bleuets dans cet Euro. Comment allaient-ils digérer ce manque de réussite ? Plutôt mal, puisqu’en dépit d’une domination impressionnante et d’une pelletée de corners, les Tricolores ne parvenaient pas à tromper la vigilance de Néerlandais pourtant pas garants d’une assurance tous risques derrière. Mais les hommes de René Girard péchaient trop dans les transmissions, à l’image de cette contre-attaque à 4 contre 2 gâchée en raison d’un hors-jeu stupide (27e). Pire, Castelen commençait à faire de plus en plus de misère à l’arrière-garde française. Et si la première tentative du petit ailier des Pays-Bas ne débouchait sur rien (29e), la seconde, elle, permettait à Huntelaar de réussir un superbe petit lob à l’entrée de la surface sur un Mandanda un peu trop avancé (0-2, 39e). Le coup de poignard avant la pause était terrible, surtout que Sinama-Pongolle manquait une dernière occasion en piquant son ballon au-dessus de Vermeer et… du but batave.

Proche du KO

Dès la reprise, René Girard procédait à deux changements avec les sorties de Sinama-Pongolle et Gourcuff au profit de Gouffran et Diarra. Des entrées qui redonnaient de l’allant aux Bleuets. La preuve, à la 50e minute, Berthod adressait un centre parfait pour la tête de Faubert, qui ne laissait pas l’ombre d’une chance à Vermeer et relançait le suspense (1-2, 50e). Cependant, malgré ce but, les Français ne parvenaient pas vraiment à enflammer la rencontre et à faire douter les Néerlandais. Seul Gouffran réussissait à se créer deux semblants d’occasion. D’abord sur une frappe un peu trop croisée qui filait devant le but adverse (54e). Puis sur une bonne passe de Toulalan dans la surface, le Caennais parvenait à se retourner et à frapper instantanément. Mais Vermeer était à la parade (69e). De leur côté, les Bataves se contentaient de gérer leur avance, en tentant ici ou là de partir en contre. Toujours par l’entremise de Castelen, qui se régalait des espaces et servait Hofs, dont la frappe à l’entrée de la surface passait de peu à côté (79e). Le KO était tout proche

Bergougnoux arrache la prolongation

Entré en jeu quelques minutes auparavant, Bergougnoux allait faire regretter aux Néerlandais ce manque de réalisme. Sur un coup franc excentré à gauche, le Toulousain plaçait un amour de frappe enveloppée dans la lucarne opposée, qui laissait le portier néerlandais sans réaction (2-2, 86e). Une égalisation arrachée in extremis qui aurait très bien pu ne servir à rien dans les dernières minutes tant les Orange allaient se créer d’occasions. Mais ni le centre de Castelen (89e), ni la frappe d’Aissati sortie du bout des doigts par Mandanda (90+2e) ne changeaient quoique ce soit au tableau d’affichage. Direction donc la prolongation, que les Bleuets abordaient moins frais. Pourtant, c’était eux qui se procuraient la première grosse occasion, mais la frappe de Gouffran était contrée par Zomer (93e). Passé cette tentative, le match sombrait dans un profond ennui avec deux équipes au bout du rouleau physiquement et qui se refusaient à se découvrir.

Faubert expulsé, adieu finale

Jusqu’au tournant de la 103e minute et l’expulsion, très sévère, de Faubert pour un second carton jaune après un choc avec Schaars. Réduits à 10, les Bleuets vivaient un cauchemar en encaissant dès le début de la seconde période de prolongation un 3e but, limpide, de la part d’Hofs (2-3, 107e). Dès lors, les Tricolores n’avaient plus le choix et devaient se lancer à l’abordage à… 9, puisque Mavuba ne pouvait plus mettre un pied devant l’autre. Las, les hommes de René Girard se heurtaient au mur des Orange, qui ne lâchaient plus cette finale qui leur tendait les bras. Vermeer s’interposait ainsi sans trembler sur deux frappes de Diarra (109e et 116e). Et le coup franc de la dernière chance de Toulalan était repoussé. C’en était donc fini des rêves de victoire des Bleuets, qui peuvent nourrir bien des regrets après cette défaite (2-3), eux qui étaient favoris. Sur le papier uniquement.

Fiche Technisue du match.

http://www.sport24.com/livescore/live_foot_euro_2006__espoirs__france_pays_bas_16651_small_v2.html

merci pour toute ces news la france vont avoir du mal

Ribéry est très proche de l'ol

ouai jespere pas quil va y allé

C bon Ribery est titulaire javou il es pas mal!!

ouai les francais ils jouent pas mal quan dmeme

il cartoon se gars il dechire tout mais bon se zizou qui cartoon le plus lol

dhorraso, dhorraso cheers

Moi je trouve que Abidal, Ribéry, Malouda et Sagnol jouent très bien.

ouai c vrai ils jouent bien

oaui ribéry il se done a fond é sa c cool

RIberY tro bon joueur de fooot

il ira pa a l'ol c'est sur est sertain

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